vendredi 27 mars 2015

L’astéroïde médiatique qui va FRÔLER la terre ! ATTENTION à ce qu'on vous dit !



Comme il est écrit dans le titre c'est un astéroïde médiatique, un journal américain a vu et copié un article sur un blog et un autre journal a copié puis un autre puis un autre puis un autre ..... Heureusement que le blog n'a pas dit qu'il n'y aurait plus de gravité ou plus de lumière pendant 24H cette fois...


 " D'après la NASA il mesure 1000 mètres " s’exclament-ils tous ...    AH BON !!!  personnellement  quand je vais sur le site de la NASA ( dont voici le lien ) ce n'est pas marqué ça ... leur estimation est entre 440 m et 990 m (voir ligne rouge, colonne verte du tableau en bas de l'article) . Mais bon autant prendre le plus gros chiffre et l'arrondir au dessus, c'est beaucoup plus parlant de dire 1000 !



La terre et la lune vue de 2014-YB35
" L'astéroïde 2014-YB35 devrait frôler la Terre " rajoutent-ils, histoire de mettre un peu de sensationnel dans leur article et bien sûr il faut le nommer pour montrer qu'on s'y connait un peu quand même !

Tout d'abord voici la définition de "frôler" : frottement léger d'un corps contre un autre VOIR LAROUSSE

La terre et la lune vue de 2015 FM118
De plus (voir colonne fushia du tableau)  2014-YB35 sera à 0.0299 AU (1AU= environ 150 millions de Km) soit 11.6 LD ( 1LD = Lunar Distance= environ 384 000 km) ce qui veut donc dire qu'il passera à 11.6 fois la distance qui nous sépare de la lune, soit environ 4.5 millions de km. Sacré frôlement !!! Mais à l’échelle de l’univers c'est peu me direz-vous et vous auriez raison mais alors que dire de 2015-FH37 celui qui passera aussi ce vendredi à environ 8.9 LD ?
Et que dire aussi de 2015-FM118 celui qui passera demain à une distance de 0.9LD. Rappelons que 1LD est égal à la distance entre la lune et nous, le chiffre étant inférieur à 1 il passera donc entre la lune et la Terre. Espérons qu'ils ne parlent pas d'impact ou d'apocalypse !!!




" Il devrait passer à une vitesse de plus de 38140 km/h " Mais où sont-ils allé chercher ce chiffre ? Honnêtement je ne sais pas, c’était peut-être plus parlant aussi... Déjà ils mettent la vitesse en km/h soit ok c'est pour avoir une meilleure compréhension et visualisation pour la plupart d'entre nous, mais la vérité est que le site de la NASA a signalé (voir colonne bleue) que la vitesse était de 10.16 km/s soit 36 576 km/h (1 km/h = 0.00027777777777778 km/s) donc + de 1500 km/h de moins. Et certains pourront penser et/ou me dire que l’astéroïde a peut-être ralenti mais dans l’espace il n'y a pas d'air donc pas de friction donc pas de ralentissement.
Le deuxième astéroïde, qui vient vers nous aujourd'hui, a une vélocité de 18.99km/s soit 68364 km/h ce qui fait de lui un objet bien plus dangereux même si il est en moyenne environ 10 fois plus petit. Toutes proportions gardées entre les 2 : c'est comme se prendre un coup de batte de Baseball ou une balle de fusil d’assaut (dans la réalité pas dans les films! Parce que dans les films tu tires dans la tête ça fait un petit trou devant un petit trou derrière mais dans la réalité ça t'arrache la moitié arrière du crane!) Bien sûr si l’astéroïde nous percute il ne traversera pas la Terre, l'exemple est en terme d’énergie potentielle transformée en énergie cinétique : EC = ½ M X V².





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La Nasa veut aller prélever un rocher sur un astéroïde



La Nasa avait initialement prévu de capturer l'astéroïde pour en changer la trajectoire. Finalement, l'agence spatiale américaine y prélèvera un rocher à la surface avec un vaisseau automatique, une opération qui devrait permettre de tester des systèmes de vol pour envoyer des astronautes vers des destinations lointaines.

Pour l'instant, la Nasa a sélectionné trois astéroïdes potentiels dans le cadre de cette mission, l'Asteroid Redirect Mission (ARM), initiée il y a trois ans, mais continue à en rechercher d'autres. Une fois arrivé à proximité de l'astéroïde retenu, ARM déploiera son bras télémanipulateur pour saisir un rocher à la surface dont la taille pourrait atteindre quatre mètres. Le vaisseau le tractera et le placera sur une orbite lunaire stable après un voyage qui prendra environ six ans.

Préparer l'exploration par l'homme dans l'espace lointain
Capsule Orion

Puis la Nasa lancera vers le milieu des années 2020 deux astronautes à bord de la capsule Orion qui iront explorer ce rocher et en prélever des échantillons pour les rapporter sur Terre, une mission qui devrait durer 24 ou 25 jours.


Le vaisseau automatique ARM sera notamment doté d'un moteur à propulsion solaire-électrique en développement qui sera très utile pour l'exploration dans l'espace lointain. Ce système permet d'utiliser moins de carburant, de voyager loin, plus vite et moins cher que n'importe quelle autre technologie actuellement disponible, selon la Nasa. Après son lancement, ARM devrait atteindre l'astéroïde deux ans plus tard, vers 2022.

Protéger la Terre contre une éventuelle collision

Orion Vue d'artiste
Avant que ce «caillou» n'atteigne sa destination autour de la Lune, la Nasa testera également des techniques de protection de la Terre contre une éventuelle menace de collision avec un astéroïde dans le futur. En 2005, l'agence avait déjà testé dans le cadre de la mission «Deep Impact» une technologie consistant à frapper un astéroïde ou une comète menaçant de heurter la Terre avec un vaisseau spatial pour en détourner sa course.

La capsule ARM offre une autre option. Il s'agit d'utiliser la force gravitationnelle exercée dans l'espace par tout objet même les plus petits, en l'occurrence un vaisseau spatial, pour modifier la trajectoire d'un astéroïde. Ainsi un vaisseau ARM en s'approchant et restant à proximité d'un de ces corps célestes pourrait lentement le tirer sans le toucher.

A ce jour, plus de 12.000 astéroïdes dont l'orbite croise celle de la Terre ont été identifiés, dont environ 96% dépassent un kilomètre de largeur. La Nasa, qui va améliorer son système de détection, n'a détecté aucun objet de cette taille présentant un risque de heurter la Terre dans les cent prochaines années. Mais des astéroïdes plus petits pourraient présenter un danger.


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Source : 20 Minutes

mercredi 25 mars 2015

Vie sur Mars : la Nasa découvre une preuve supplémentaire

Le robot Curiosity a détecté de l’azote à la surface de Mars, une preuve de plus que la planète a pu bénéficier de conditions propices à l’existence de la vie.



Cycle de l'Azote
Utilisant un des instruments du robot martien américain Curiosity , des scientifiques ont pour la première fois détecté de l’azote à la surface de Mars dans des nitrates, un élément essentiel à la vie, a indiqué mardi la Nasa. Les nitrates sont une catégorie de molécules qui contiennent de l’azote sous une forme pouvant être utilisée par des organismes vivants, a expliqué l’Agence spatiale américaine. Cette découverte apporte ainsi une preuve de plus que la planète rouge a réuni dans le passé des conditions propices à l’existence de la vie.

L’azote est indispensable pour toutes les formes de vie connue, puisqu’il constitue un élément clé des plus grandes molécules comme l’ADN, qui code les instructions génétiques de la vie. Sur la Terre comme sur Mars, l’azote se trouve à l’état gazeux dans l’atmosphère sous forme de deux atomes attachés ensemble qui, ainsi, ne peuvent pas se combiner aisément avec d’autres molécules. Or les atomes d’azote doivent être soit seuls, soit fixés à des molécules d’oxygène pour pouvoir créer des réactions chimiques indispensables à la vie.

Plusieurs milliards d’années

Une molécule de nitrate, formée d’un atome d’azote et de trois atomes d’oxygène, est la source d’azote fixée qui peut ainsi se combiner à une variété d’autres atomes et de molécules. Toutefois les scientifiques soulignent qu’il n’y aucune indication suggérant que ces molécules de nitrate découvertes par un instrument de Curiosity proviennent d’un organisme vivant. La surface de Mars est aujourd’hui inhospitalière à toute forme de vie connue.

Selon ces chercheurs, ces nitrates sont anciens et ont résulté de processus non-biologiques comme par exemple l’impact d’astéroïde ou la foudre sur Mars dans un lointain passé. L’équipe scientifique de Curiosity a déjà découvert des indices prouvant que la vie a pu exister sur Mars il y a plusieurs milliards d’années, telle la présence d’eau liquide abondante, comme en témoigne des lits d’anciennes rivières et la présence de matériaux organiques dans le cratère de Gale, où le robot s’est posé en août 2012.

Mont Sharp
Curiosity se trouve actuellement au pied du mont Sharp, une montagne de 5.500 mètres de hauteur formée de couches sédimentaires, dans l’une desquelles il a capté les molécules de nitrate. Le robot avait aussi détecté en décembre , près de la surface de Mars, des émanations régulières de méthane sans avoir pu déterminer l’origine de ce gaz qui, sur Terre, provient à 95% de micro-organismes. Curiosity ne dispose pas d’instrument permettant d’établir l’existence de la vie sur la planète rouge. L’objectif de sa mission était d’établir si Mars, dans le passé, était habitable en réunissant les conditions nécessaires à l’existence de la vie microbienne.




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Source : NASA ; AFP ; Le Point

mardi 24 mars 2015

L'image de la semaine Arp 273



Cette image d'une paire de galaxies en interaction appelée Arp 273 a été publiée pour célébrer le 21ème anniversaire du lancement du télescope spatial de la NASA / ESA Hubble. Elles sont situées à environ 300 millions d'années-lumière de la Terre dans la constellation d'Andromède. Situées à environ 100 000 années-lumière l'une de l'autre, elles ont été recensées dans l'Atlas of Peculiar Galaxies d'Halton Arp en 1966.

Arp 273 résulte d'une rencontre survenue, il y a quelques centaines de millions d'années, quand la galaxie UGC 1813 a traversé les bras extérieurs de la galaxie UGC 1810. Les bras de la grande galaxie ont été étirés par l'attraction gravitationnelle de la petite, à l'image d'une fleur qui s'épanouit. Le gaz et la poussière compressés ont alors formé des étoiles bleues, très chaudes.

La plus grande des deux galaxies, connue sous le nom d'UGC 1810, est à peu près cinq fois plus massive que sa compagne.



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Source : Hubble / ESA ; Wikipédia



Fortes chutes de grêle à Bogota: environ 50 blessés

La capitale Colombienne, Bogota a subi de fortes pluies accompagnées de fortes chutes de grêle qui ont causé de nombreux dommages.

Environ 270 maisons ont été inondées, des toitures effondrées, et de nombreuses voitures ont été prises au piège de la grêle.

Selon les pompiers, de nombreux secteurs de la ville ont été touchés.

On a relevé dans certains quartiers une hauteur d’eau de 20 cm, et jusqu’à 60 cm de grêle.

La situation était très compliquée dans les districts Restrepo, La Forge, Santa Isabel et El Dorado.

Dans le quartier de El Dorado, dans le centre-ouest de la ville, le toit d'un parking s’est effondré, piégeant sept personnes, dont trois enfants qui ont subi de graves blessures.

En tout, on dénombre environ 50 blessés suite à ces intempéries.




























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Source : Météo World

lundi 23 mars 2015

Prudence autour du volcan Tongariro en Nouvelle-Zélande


En Nouvelle-Zélande, GeoNet, le centre d'information des risques géologique, a élevé le 22 mars 2015 le niveau d'alerte du Ngauruhoe, un cône du complexe volcanique du Tongariro à 1 à la suite de l'apparition d'une sismicité anormale.

Même si le risque n'est pas élevé, les spécialistes sont prudents en raison du tourisme galopant qui se développe autour de ce volcan.

Le Seigneur des anneaux (The Lord of the Rings)


Le mont Ngauruhoe, ou simplement Ngauruhoe, est un volcan de Nouvelle-Zélande situé dans l'île du Nord, entre deux autres volcans : le mont Tongariro au nord-nord-est et le mont Ruapehu au sud-sud-ouest. Il s'agit en réalité de la plus élevée des bouches éruptives du volcan Tongariro. De forme conique aux pentes très prononcées et couronnées par un cratère sommital, le mont Ngauruhoe a servi de lieux de tournages pour la Montagne du Destin dans la trilogie cinématographique du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson.




Le mont Ngauruhoe culmine à 2 291 mètres d'altitude et à 800 mètres au-dessus des terres environnantes dans le centre de l'île du Nord en Nouvelle-Zélande. Sa forme caractéristique est due à ses flancs lisses et symétriques aux pentes prononcées. Il est le plus haut sommet du massif du Tongariro. Son sommet est couronné par un cratère emboîté dans un second cratère plus grand mais dont le rebord n'est visible qu'au sud-est du cratère central.

Ses pentes dépourvues de végétation sont enneigées en hiver. Il est inclus dans le parc national de Tongariro.

Le mont Ngauruhoe est un stratovolcan qui constitue la bouche éruptive la plus jeune du massif volcanique du Tongariro avec une formation débutée il y a de 2 500 ans. Ainsi, contrairement au mont Ruapehu et au mont Tongariro, il a échappé à la dernière ère glaciaire et les précipitations ne l'ont pas encore profondément érodé. Qualifié de volcan gris, ses éruptions se traduisent généralement par des explosions, la plupart d'indice d'explosivité volcanique de 2, et l'émission de nuées ardentes et de lahars. Ses éruptions relativement fréquentes, plus de soixantaine-dix depuis 1839, en fait le volcan le plus actif de la Nouvelle-Zélande, la dernière de ces éruptions s'étant produite le 4 juillet 1977.



Publié sur  Volcan : Fusion terrestre et Twitter @cedelactu

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Source : GeoNet New Zealand ; Vulcania ; Wikipedia

Le virus H1N1 fait plus de 1.900 morts en Inde

Plus de 32.000 personnes sont touchées par le virus dans le pays.


Plus de 1.900 personnes sont décédées des suites de la grippe porcine en Inde, et 32.000 autres sont infectées par le virus, rapporte lundi le journal India Today se référant au ministère de la Santé.

"Au 21 mars 2015, l'épidémie a emporté 1.911 vies humaines, tandis que le nombre de personnes contaminées à travers le pays s'est élevé à 32.233", a fait savoir le journal.

Les bilans les plus lourds sont enregistrés dans les Etats du Gujarat, du Rajasthan, du Mahārāshtra et du Madhya Pradesh. A New Delhi, on dénombre 4.142 cas de la maladie ainsi que 12 décès liés au virus H1N1.

Auparavant, le ministère indien de la Santé a démenti la présence d'une mutation du virus H1N1 dans l'actuelle épidémie de grippe porcine.




Publié sur Actu Hazmat-Nrbc et Twitter @Cedelactu

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Source : Sputniknews

Vanuatu: le bilan provisoire du cyclone ramené à 11 morts


Le bilan humain provisoire du cyclone Pam qui a dévasté l'archipel du Vanuatu le 13 mars, affectant des dizaines de milliers d'habitants, a été revu à la baisse à 11 morts, a annoncé lundi l'ONU.

Le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) a dû réviser à plusieurs reprises le nombre de morts imputé au cyclone et utilise désormais les chiffres du gouvernement local.

L'OCHA avait donné un premier bilan de 44 morts non confirmés il y a dix jours.
Le Vanuatu et ses 270.000 habitants ont été balayés dans la nuit du 13 au 14 mars par le cyclone Pam, une tempête de catégorie 5 sur 5, avec des rafales dépassant les 320 km/h.

Environ 166.000 personnes ont été affectées sur 22 des 80 îles de l'archipel.

"Les premiers rapports confirment la destruction de 20 à 90% des maisons, des écoles, des dispensaires, des églises et des cultures sur ces 22 îles", a indiqué l'OCHA.
Un grand nombre de sinistrés manquaient toujours d'abri, d'eau potable et de vivres.

L'organisme a enregistré 10 millions de dollars US de dons de pays étrangers parmi lesquels l'Australie, la Grande-Bretagne et la Commission européenne.


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Source : Le parisien

La NASA va tester des modules habitables gonflables sur l'ISS

À défaut de pouvoir immédiatement aller imprimer des habitations en 3D sur la Lune ou sur Mars, l'humanité pourrait profiter de solutions gonflables pour occuper l'espace.

Vivre dans l'espace soulève plusieurs défis pour les agences spatiales, et un point considérable consiste à concilier espace habitable avec emport minimal lorsqu'il s'agit d'envoyer des modules depuis un lanceur qui facture l'accès à l'espace au poids et au volume.

Bigelow C'est pour répondre à cette problématique que la société Bigelow Aerospace développe depuis plusieurs années son BEAM ( Bigelow Expandable Activity Module). La société vient ainsi d'obtenir un contrat avec la NASA pour tester son module arrimé à la Station Spatiale internationale (ISS).

Le module gonflable sera proposé dans l'espace depuis une fusée de SpaceX avant de prendre du volume et de s'arrimer sur l'ISS. Une fois en place, les astronautes devraient utiliser ce nouvel espace comme un salon de détente et tester ainsi la viabilité du concept.

Si les tests sont concluants, le système BEAM pourrait être déployé lors de plusieurs missions spatiales et se présenter comme une solution permettant d'occuper de nouvelles planètes et satellites à moindres frais. La NASA a signé un contrat de 17,8 millions de dollars avec la firme. Des modules plus imposants pourraient permettre de créer rapidement des bases lunaires gonflables.






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Source : Generation NT

Séisme M6.1 au Chili, pas d'alerte tsunami

Le Service national de sismologie de l'Université du Chili a d'abord anoncé un tremblement de terre  d'une magnitude 6.3 . L' USGS, quant à lui, a annoncé une magnitude de 6,1.

L'épicentre était situé 48 kilomètres à l'est-sud-est de Putre,  à une profondeur de 120.9 km, près de la frontière avec le Pérou et la Bolivie.

Certains glissements de terrain ont été signalés dans la région, selon les médias chiliens mais heureusement aucune victime n'a été signalée.

Le Bureau national d'urgence du ministère de l'Intérieur du Chili a également annoncé que les caractéristiques de la forte secousse ne remplissent pas les conditions qui seraient essentiels pour générer un tsunami.

Le Chili est l'un des pays à risque de tsunamis. Il a été frappé par plusieurs tremblements de terre en 2014 qui ont fait six morts et déplacé près d'un million de personnes en raison de l'alerte aux tsunamis.

En 2007, le Pérou a également été frappé par un tremblement de terre de magnitude 8,0 qui a causé la mort de 519 personnes et blessé 1366 autres, déclenchant une alerte au tsunami pour les pays côtiers de l'Équateur, le Chili, la Colombie, le Panama et le Costa Rica.



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