Non non je ne suis pas en train de me réjouir d'avoir envoyé un MMS ! Je parle bien entendu de la fusée Atlas 5 qui a lancé avec succès les satellite MMS. Magnetospheric Multiscale Mission ou MMS est une mission spatiale de la NASA chargée d'étudier la magnétosphère de la Terre qui a été lancée cette nuit le 13 mars 2015. MMS utilise quatre satellites identiques volant en formation en forme de tétraèdre. Les instruments scientifiques embarqués doivent recueillir des données permettant de reconstituer la structure et la dynamique des régions où se produisent les reconnexions magnétiques. Ils doivent en particulier mesurer l'accélération des particules énergisées et les turbulences.
La mission comprend deux phases d'une durée totale de 2 ans pour étudier ce phénomène in situ d'abord dans la région où le vent solaire produit par le Soleil vient se heurter au champ magnétique terrestre puis, dans la région située à l'opposé par rapport à la Terre, dans la queue de la magnétosphère. Objectifs La mission MMS a pour objectif d'identifier la structure et la dynamique des régions où les électrons se diffusent en mettant en évidence ce phénomène dans les trois dimensions et à petite échelle. Les instruments des satellites MMS doivent mesurer le plasma ainsi que les champs électriques et magnétiques dans les régions de diffusion de la magnétosphère terrestre où se produisent les reconnexions magnétiques afin de répondre aux questions suivantes : Qu'est ce qui déclenche le processus de reconnexion magnétique et à quelle vitesse ce processus se déroule-t-il ? Quelle est la structure de la région de diffusion ? Comment les champs de plasma et les champs magnétiques se connectent et se déconnectent dans les régions de diffusion ? Dans quelle mesure les électrons agissent sur le processus de reconnexion ? Quel est le rôle des turbulences dans le processus de reconnexion ? Comment les reconnexions accélèrent les particules qui atteignent des énergies élevées ? Instrumentation scientifique
Les quatre engins spatiaux emportent exactement les mêmes instruments scientifiques : des instruments d'analyse du plasma, des détecteurs de particules énergétiques, des magnétomètres, des instruments de mesure du champ électrique et des équipements destinés à maintenir le potentiel électrique du satellite le plus bas possible pour ne pas perturber les mesures. Les différents instruments se caractérisent par la fréquence (toutes les millisecondes) et la précision particulièrement élevées des mesures. Ces caractéristiques sont nécessaires pour identifier et cartographier les régions de diffusion de très petite taille (1 à 10 km) et se déplaçant rapidement (10 à 100 km/s) où se déroulent les processus de reconnexions magnétiques.
Mesure des plasmas chauds
Deux instruments analysent les caractéristiques des plasmas :
L'instrument FPI(Fast Plasma Instrument ) mesure la distribution tri dimensionnelle des flux d'électrons et d'ions dont l'énergie est comprise entre 10 eV et 30 keV avec une précision du niveau d'énergie de 20%. Les mesures sont effectuées toutes les 30 ms avec une résolution temporelle de 150 ms. L'instrument est fournie par le centre spatial Goddard.
L'instrument HPCA (Hot Plasma Composition Analyzer) utilise une nouvelle technique pour mesurer les ions comme l'oxygène et l'hydrogène dont l'énergie est comprise entre ~10 eV et 30 keV avec une précision du niveau d'énergie de 20% et une résolution temporelle de 15 secondes.
Mesure des particules énergétiques
Deux instruments analysent les caractéristiques des particules énergétiques :
Deux instruments FEEPS (Fly's Eye Energetic Particle Sensor) mesure la distribution spatiale et le spectre énergétique des ions et électrons pour les électrons de ~25 keV à 500 keV et les protons de ~45 keV à 500 keV. L'instrument est fourni par la société Aerospace Corporation.
Le spectromètre à ions énergétiques EIS (Energetic Ion Spectrometer) détermine la composition de ions (des protons aux ions de l'oxygène) et la distribution angulaire pour les particules ayant une énergie comprise entre ~45 keV et 500 keV toutes les 30 secondes. L'instrument est développé par l'Applied Physics Laboratory.
Mesure des champs électriques et magnétiques
Six instruments analysent les caractéristiques des champs électriques et magnétiques :
Les magnétomètres fluxgate analogique AFG (Analog Fluxgate) et digital DFG (Digital Fluxgate) développés respectivement par l'UCLA et l'Université technique de Braunschweig. Les deux magnétomètres fournissent des mesures redondantes du champ magnétique et de la structure des régions de diffusion.
L'instrument EDI (Electron Drift Instrument) mesure les champs et électriques en mesurant le déplacement d'électrons émis par un canon électrique avec une énergie d'environ 1 keV. L'instrument est développé par l'Institut für Weltraumforschung de l'Académie des Sciences autrichienne.
Six antennes mesurent dans les trois dimensions les champs électriques. Quatre antennes filaires SDP (Spin-plane Double Probe) longues de 48 mètres sont déployées perpendiculairement à l'axe de rotation du satellite avec des capteurs sphériques à leur extrémité. Deux antennes de 10 mètres ADP (Axial Double Probe) sont déployées parallèlement à l'axe de rotation de part et d'autre du satellite. Les mesures sont effectuées avec une fréquence de 100 kHz et une précision de 0,5 mV/m (SDP) and 1 mV/m (ADP).
Le magnétomètre à bobine SCM (Search Coil Magnetometer) mesure le champ magnétique dans les axes avec une fréquence atteignant 6 kHz et est utilisé avec les instruments ADP et SDP pour déterminer la contribution des ondes de plasma à la dissipation turbulente qui a lieu dans les régions de diffusion. L'instrument SCM est développé par le Centre d'étude des Environnements Terrestre et Planétaires (France).
Déroulement du projet
Les quatre satellites sont construits par le Centre spatial Goddard de la NASA. Il est prévu que les satellites MMS soient placés en orbite en mars 2015 par une fusée Atlas V-421 comportant deux propulseurs d'appoint et étage supérieur Centaur monomoteur. Le 13 mars le lanceur tiré depuis la base de lancement de Cape Canaveral a placé MMS sur une orbite provisoire de 585 x 70165 km. Les quatre satellites doivent rejoindre leur orbite opérationnelle par la suite en utilisant leur propre propulsion.
Et le vainqueur est .................. AR12297 !!! Mais encore elle ? Et oui jusqu’àprésent c'était la seule région active sur la face visible du soleil mais une autre commence à pointer le bout de son nez.
En tout cas c'est bien elle qui a produit 1 éruptions solaires de type M
- M 4.2 qui a débuté à 14h50 pour se terminer à 15h13
Un nouveau cyclone s’est formé sur le Pacifique ces derniers jours. Prénommé Pam, il se dirige vers le sud en s’intensifiant et pourrait passer à proximité de la Nouvelle-Calédonie vendredi prochain. Dans le même temps, un autre phénomène cyclonique circule au large de l'Australie.
Pam
Actuellement situé au nord-est des îles Vanuatu dans le pacifique sud, le cyclone Pam est le 5ème de la saison cyclonique dans la zone. Avec une pression en son centre de 937 hPa, il s’agit déjà d’un cyclone de catégorie 4 sur l’échelle de Saphir-Simspon, avec des vents moyens à 213 km/h et des rafales allant jusqu’à 250 km/h.
Il se dirige vers le sud et se renforce. Il atteindra la catégorie 5 maximale vendredi, au plus proche de son passage près de la Nouvelle-Calédonie. Des vents destructeurs à plus de 300 km/h seront alors possible près de l’œil en mer. Le cyclone sera heureusement trop éloigné de l’île pour y provoquer de gros dégâts. De fortes pluies orageuses sont tout de même attendues dans la zone.
A noter que d'autres phénomènes tropicaux sont présents dans zone. En effet, formé ces dernières heures au large du nord-est de l'Australie et nommé Nathan, un nouveau cyclone pourrait devenir dangereux (catégorie 2) dans les jours à venir même si il ne menace à priori pas les terres.
Olwyn, lui aussi cyclone de catégorie 2 est actuellement situé au nord-ouest des côtes australiennes, et pourrait quant à elle frapper cette même côte dans heures à venir en catégorie 3.
Olwyn à gauche et Nathan à droite
Enfin, une autre tempête tropicale, Bavi, cette fois-ci dans le pacifique nord, circule dans la zone des îles Marshall. Elle se dirige actuellement vers l'ouest en direction de Guam, sans renforcement notable.
Une soignante britannique, membre de l'armée, testée positive au virus Ebola en Sierra Leone, est en cours de rapatriement, a annoncé jeudi le ministère de la Défense. Elle a pris place dans un avion de la Royal Air Force (RAF) envoyé mercredi sur place, a précisé une porte-parole du ministère. Elle sera transférée au Royal Free Hospital de Londres, où deux infirmiers britanniques, également infectés en Sierra Leone, ont déjà été soignés avec succès. Les services de santé britanniques avaient annoncé hier qu'un membre du personnel soignant de l'armée du Royaume-Uni avait été testé positif au virus Ebola en Sierra Leone également. Enquête en cours « Une enquête sur la manière dont ce soignant militaire a été exposé au virus est actuellement en cours », avait ajouté le Public Health England (PHE), précisant que « toute personne identifiée comme ayant eu des contacts proches sera examinée ». L'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest est la plus grave depuis son identification en Afrique centrale en 1976, elle a fait plus de 10 000 morts identifiés qui restent un nombre nettement sous-estimé de l'aveu même de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Un astronaute américain et deux cosmonautes russes sont revenus sur Terre jeudi 12 mars 2015 à bord d'un vaisseau Soyouz, après six mois dans l'espace.
167 JOURS. Barry Wilmore, Elena Serova et Alexandre Samokoutiaev se sont posés dans les steppes du Kazakhstan, jeudi 12 mars 2015 à l'aube (3 H 14 heure française). "Le retour sur Terre de l'équipage de l'expédition 41/42 s'est déroulé avec succès" s'est félicité l'Agence spatiale russe (Roskosmos) dans un communiqué. Les deux Russes et l'Américain s'étaient envolés vers l'ISS à bord d'un Soyouz le 26 septembre 2014, passant au total 167 jours dans la Station spatiale et parcourant plus de 112 millions de kilomètres durant ce périple, a indiqué pour sa part la Nasa sur son site internet.
Lors de leur mission, Alexandre Samokoutiaev et Elena Serova ont notamment "participé à 50 expériences scientifiques et œuvré pour le maintien du fonctionnement de la Station", selon Roskosmos. Pour Alexandre Samokoutiaev, cette mission a été marquée par sa deuxième sortie extra-véhiculaire dans l'espace, a-t-il précisé.
Le prochain séjour dans l'ISS aura une durée record
Pour sa part, Elena Serova est la première femme russe à se rendre dans l'espace depuis 17 ans, et la première femme russe à monter à bord de l'ISS. La Russie a fêté en 2013 le 50e anniversaire du vol de la première femme dans l'espace, la Soviétique Valentina Terechkova, le 16 juin 1963. Il avait été suivi par ceux de Svetlana Savitskaïa, en 1982 et en 1984. Mais les vols de la troisième, et dernière jusqu'à Elena Serova, femme russe, dans l'espace, Elena Kondakova, remontent quant à eux à 1994-1995, lorsqu'elle avait effectué une première mission de cinq mois, puis en mai 1997 pour une mission de 10 jours à bord d'une navette américaine.
Le prochain lancement d'un Soyouz est prévu depuis Baikonour au Kazakhstan le 28 mars, avec à bord l'astronaute américain Scott Kelly et les cosmonautes russes Mikhaïl Kornienko et Guennadi Padalka. Scott Kelly et Mikhaïl Kornienko feront un séjour d'un an dans l'avant-poste orbital, une durée dans précédent pour les membres d'équipage. Cette expérience vise à "collecter des données biomédicales pour préparer les missions habitées de longue durée dans l'espace", a rappelé la Nasa.
Ce sont en fait 2 fuites d'eau ! Une nouvelle et une ancienne cachée du public depuis un an ...
Le 10 mars 2015, Tepco annonce qu’environ 750 tonne d’eau extrêmement radioactive se sont écoulées d’une retenue pour s’infiltrer dans le sol. La cause n’en est pas identifiée.
Il s’agit d’un “barrage” local qui entoure les citernes d’eau extrêmement radioactive, celles qui ont eu une fuite majeure. La retenue est conçue pour retenir les eaux de pluie parce qu’elles se contaminent dès qu’elles arrivent au sol.
Dans la matinée du 10 mars 2015, un employé de Tepco s’est aperçu que le niveau de l’eau était descendu de moitié pendant la nuit précédente. A la suite d’une inspection, ils ont trouvé la fuite au pied d’une digue de terre et des bulles se formaient à la jonction entre la base en béton et un caniveau.
Tepco a pompé les eaux encore retenues pour les transvaser dans une autre retenue. Le volume de la fuite est estimé à 747 m³.
Le record de radioactivité β dans les eaux de pluie retenues restantes est de 8 300 000 (8,3 millions de) Bq/m³.
Dans un premier compte-rendu, Tepco écrit que la radioactivité en strontium 90 dépasse 100 000 Bq/m³ mais depuis ils n’ont pas donné le chiffre exact relevé.
Schéma du bassin de rétention qui a fuit
Le 4 mars 2015, Tepco confesse qu’une autre évacuation draine des eaux extrêmement radioactives dans le Pacifique depuis le 11-3. Le déversoir est situé en-dehors du port de la centrale.
Les eaux extrêmement radioactives partent directement à la mer. Tepco le sait depuis avril dernier mais le cache depuis près d’un an.
Il s’agit de l’évacuation située dans la partie nord de la centrale de Fukushima. Elle passe à côté des réacteurs 5 et 6. Son déversoir est juste à côté de l’extrémité nord du port de la centrale, à l’extérieur .
Pour ce que Tepco en dit, ils ont commencé à en prendre des relevés de radioactivité hebdomadaires à partir du 16 avril 2014. Leurs données montrent que les radioactivités en Cs 134/137 et β (dont le strontium 90) ont grimpé chaque fois qu’il a plu. Ils ont relevé 200 000 Bq/m³ de radioactivité β. Ils disent n’en avoir pratiquement jamais analysé le strontium 90 mais il en ont relevé 3 300 Bq/m³.
Tepco n’a pas fait de déclaration pour justifier sa censure d’au moins un an.
AR 12297 a produit une puissante éruption solaire de type X
C'est la première de ce type pour cette région active qui fait parler d'elle depuis plusieurs jours. Et c'est surtout aussi la première X de l'année !!! X2.1 qui a débuté à 17h11 et a culminé à 17h22 pour se terminer à 17h29.
Cette éruption qui semble être de type impulsif est en fait expulsive avec une vitesse estimée de 1460 km/s, elle a produit une CME.
Je vous prépare une vidéo Youtube que je posterai ci-dessous après qu'elle soit finie de télécharger. Voici pour le moment une séquence d'images animées. Nous pouvons déjà voir l'éjection, du centre de la région active au coté gauche de la vidéo, cependant les quantités ne semblent pas grandioses.
Voici donc la vidéo avec la possibilité d'afficher en plein écran et de pouvoir mieux voir l’éjection dont je vous parlais.
MISE A JOUR : Une nouvelle éruption solaire de type M vient d'avoir lieu : - M1.0 qui a débuté à 19h37 et a culminé à 19h51 pour se terminer à 19h57.
Les quatre images distinctes de la supernova SN Refsdal, visibles sur cette image prise par le télescope Hubble, sont appelées « croix d'Einstein », selon la théorie de la relativité générale d'Albert Einstein. En effet, les corps très massifs peuvent dévier les rayons lumineux qui passent à proximité, en raison de leur fort champ gravitationnel. L'image d'une source d'arrière plan peut ainsi être amplifiée voire multipliée.
C'est exactement ce que Patrick Kelly de l'Université de Californie, Berkeley a observé ici : l'amas de galaxies MACS J1149.6+2223, situé à 5 milliards d'années lumières de la Terre, joue le rôle de lentille gravitationnelle et dévie la lumière provenant de la supernova SN Refsdal, située à 9,3 milliards d'années lumière de la Terre. Cette observation va permettre aux chercheurs d'étudier la formation de cette supernova, ainsi que la distribution de matière noire au sein de l'amas de galaxies.
- M2.9 qui a débuté à 00h46 et a culminé à 01h02 pour se terminer à 01h06 -M1.8 qui a débuté à 08h10 et a culminé à 08h18 pour se terminer à 08h43 - M2.6 qui a débuté à 08h51 et a culminé à 08h57 pour se terminer à 09h03 Aucune de ces fusées ne semble avoir été éruptive, ce qui signifie qu'une éjection de masse coronale est peu probable. La région active reste magnétiquement complexe avec une configuration Beta-Gamma-Delta et peut produire des éruptions solaires supplémentaires varié de modéré à forte. 10% de probabilité d'une classe X pour le moment.
Un séisme de magnitude 6,2 a frappé ce mardi après-midi 10 mars le nord-est de la Colombie, avec des secousses ressenties jusque dans la capitale, Bogota, a annoncé le Service géologique colombien (SGC). Aucune victime ni dégâts importants n'ont été signalés dans l'immédiat par les autorités, même si les médias locaux ont fait état d'accidents de voiture à Bogota ainsi que des dégâts sur la structure de la mairie de Bucaramanga, capitale de la province de Santander où s'est déclaré le séisme. L'épicentre du tremblement de terre, qui s'est produit à 15h55 (20h55 GMT), a été localisé à 161 kilomètres de profondeur dans la commune de Los Santos, selon le SGC. L'Institut américain de géophysique (USGS) a de son côté enregistré un épicentre d'une profondeur de 147 kilomètres, près de la localité d'Aratoca, à une distance d'environ 270 kilomètres de Bogota.
Les secousses, qui ont duré plusieurs secondes, ont provoqué des scènes de panique dans les rues de la capitale où plusieurs immeubles ont été évacués par précaution."Les feux de circulation se sont mis à trembler comme des drapeaux", a témoigné Luis Aponte, un chauffeur de taxi, au volant de son véhicule à Bogota au moment du tremblement de terre.
Ce sont en effet 2 éruptions solaires M5 qui ont eu lieu cette nuit dans la même région active que les précédentes activités, AR12297. - M5.8 qui a débuté à 00h29 et a culminé à 00h53 pour se terminer à 01h12 et qui a généré une petite éjection de masse coronale (967km/s) . - M5.1 qui a débuté à 04h19 et a culminé à 04h24 pour se terminer à 04h28 de type impulsive.
L'activité solaire de la journée est restée plutôt calme, cependant une éruption M4.5 qui a débuté à 15h22 et a culminé à 15h33 pour se terminer à 15h37, a quand même eu lieu dans la région active AR12297. Aucune éjection de masse coronale n'était associée à l'événement.
La région active, sur le flanc Est, dont nous parlions précédemment a été nommée AR 12297, cette dernière monte en intensité et vient de produire une éruption solaire M 9.28 qui a débuté à 22h59 et a culminé à 23h22 pour se terminer à 00h00. De plus elle a généré une importante éjection de masse coronale comme nous pouvons le voir dans les images de LASCO C2 ci dessous. Pour le moment c'est la plus grosse éruption solaire de l'année 2015, mais AR 12297 ne semble pas vouloir s'arrêter là.